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C'est l'histoire en somme
Je pensais à vous durant des heures de pourpre,
Désolé de vous troubler par ces quelques mésententes ;
Pourriez-nous un jour ajouter de la paix à la grâce.
Je ne sais, tant le cœur est lourd de n’être pas partagé ;
Les mots alors de si fins deviennent si lourds et si vains.
Les discours si ourlés ne feront alors que voltiger.
Où se trouvent et la peine et les amours
Quand tout s’évapore dans un destin non tressé.
C’est l’histoire en somme d’une fenêtre close à l’éternel…Alain, 9 février 2014
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